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Title: Small-bowel obstruction secondary to malignant disease: an 11-year audit. Author: Miller G, Boman J, Shrier I, Gordon PH. Journal: Can J Surg; 2000 Oct; 43(5):353-8. PubMed ID: 11045093. Abstract: OBJECTIVE: To determine the efficacy and long-term prognosis for operative versus nonoperative treatment of small-bowel obstruction (SBO) secondary to malignant disease. DESIGN: A chart review. SETTING: A university-affiliated teaching hospital. PATIENTS: The medical records of all patients with malignant disease as the established etiology of their obstruction who presented to the Sir Mortimer B. Davis-Jewish General Hospital, Montreal, between 1986 and 1996 were reviewed. There were 32 patients accounting for 74 admissions. INTERVENTIONS: Selective nonoperative management and exploratory laparotomy, immediate or delayed. MAIN OUTCOME MEASURES: The value of nonoperative management and need for operation. RESULTS: Colorectal and ovarian neoplasms were the principal primary malignant diseases that led to SBO. The median time between diagnosis of the malignant disease and SBO was 1.1 years. At their initial presentation, 80% of patients were treated by operation, but 47% of these patients had an initial trial of nonoperative treatment. Reobstruction occurred in 57% of patients who were operated on compared with 72% of patients who were not. The median time to reobstruction was 17 months for patients who underwent operation compared with 2.5 months for patients who did not. Also, 71% of patients were alive and symptom free 30 days after discharge from operative treatment compared with 52% after nonoperative treatment. Postoperative morbidity was 67%. Mortality was 13%, and 94% of patients eventually died from complications of their primary disease. CONCLUSIONS: SBO secondary to malignant disease usually indicates a grim prognosis. Operative treatment has better outcome than nonoperative management in terms of symptom free interval and reobstruction rates. However, it is marked by high postoperative morbidity. We recommend that, after short trial of nasogastric decompression, patients with obstruction secondary to malignant disease be operated on if clinical factors indicate they they will survive the operation. OBJECTIF: Déterminer l’efficacité et le pronostic à long terme du traitement chirurgical par rapport à celle du traitement non chirurgical d’une occlusion de l’intestin grêle (OIG) causée par une tumeur maligne. CONCEPTION: Étude de dossiers. CONTEXTE: Hôpital d’enseignement affilié à une université. PATIENTS: On a étudié les dossiers médicaux de tous les patients atteints d’une tumeur maligne qui constituait l’étiologie démontrée de leur occlusion, qui se sont présentés à l’Hôpital général juif Sir Mortimer B. Davis de Montréal entre 1986 et 1996. On a compté 32 patients qui ont représenté 74 admissions INTERVENTIONS: Traitement non chirurgical sélectif et laparotomie exploratoire, immédiate ou retardée. PRINCIPALES MESURES DE RÉSULTATS: Valeur du traitement non chirurgical et besoin d’une intervention. RÉSULTATS: Les néoplasmes colorectaux et ovariens étaient les principales tumeurs malignes primaires qui ont entraîné une OIG. La période médiane écoulée entre le moment où l’on a diagnostiqué la tumeur et l’OIG s’est établie à 1,1 an. Lorsqu’ils se sont présentés pour la première fois, 80 % des patients ont été traités par une intervention chirurgicale, mais 47 % d’entre eux avaient déjà essayé un traitement non chirurgical. L’occlusion est réapparue chez 57 % des patients qui ont subi une intervention chirurgicale comparativement à 72 % de ceux qui n’en ont pas subi. La période médiane qui s’est écoulée avant la réapparition de l’occlusion a atteint 17 mois chez les patients qui ont subi une intervention comparativement à 2,5 mois chez ceux qui n’en ont pas subi. En outre, 71 % des patients étaient vivants et ne présentaient aucun symptôme 30 jours après avoir reçu leur congé à la suite d’une intervention chirurgicale, comparativement à 52 % chez les sujets qui n’avaient pas subi d’intervention. La morbidité postopératoire a atteint 67 %. La mortalité s’est établie à 13 %, et 94 % des sujets sont morts de complications découlant de leur maladie primaire. CONCLUSIONS: L’occlusion de l’intestin grêle causée par une tumeur maligne indique habituellement un pronostic sombre. Le traitement chirurgical produit de meilleurs résultats que le traitement non chirurgical pour ce qui est de l’intervalle sans symptôme et des taux de réapparition de l’occlusion. Ce traitement entraîne toutefois une morbidité postopératoire élevée. Nous recommandons qu’après une brève période d’essai de décompression nasogastrique, les patients atteints d’une occlusion causée par la présence d’une tumeur maligne subissent une intervention chirurgicale si les facteurs cliniques indiquent qu’ils survivront à l’intervention.[Abstract] [Full Text] [Related] [New Search]