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  • Title: Adolescent care. Part 2: communication and referral practices of family physicians caring for adolescents with mental health problems.
    Author: Maheux B, Gilbert A, Haley N, Frappier JY.
    Journal: Can Fam Physician; 2006 Nov; 52(11):1442-3. PubMed ID: 17279203.
    Abstract:
    OBJECTIVE: To document with whom family physicians communicate when evaluating adolescents with mental health problems, to whom they refer these adolescents, and their knowledge and perceptions of the accessibility of mental health services in their communities. DESIGN: Mailed survey completed anonymously. SETTING: Province of Quebec. PARTICIPANTS: All general practitioners who reported seeing at least 10 adolescents weekly (n = 255) among 707 physicians who participated in a larger survey on adolescent mental health care in general practice. MAIN OUTCOME MEASURES: Whether family physicians communicated with people (such as parents, teachers, or school nurses) when evaluating adolescents with mental health problems. Number of adolescents referred to mental health services during the last year. Knowledge of mental health services in the community and perception of their accessibility. RESULTS: When asked about the last 5 adolescents seen with symptoms of depression or suicidal thoughts, depending on type of practice, 9% to 19% of physicians reported routinely communicating with parents, and 22% to 32% reported not contacting parents. Between 16% and 43% of physicians referred 5 adolescents or fewer to mental health services during a 12-month period. Most practitioners reported being adequately informed about the mental health services available in their local community clinics. Few physicians knew about services offered by private-practice psychologists, child psychiatrists, or community groups. Respondents perceived mental health services in community clinics (CLSCs) as the most accessible and child psychiatrists as the least accessible services. CONCLUSION: Few physicians routinely contact parents when evaluating adolescents with serious mental health problems. Collaboration between family physicians and mental health professionals could be improved. The few referrals made to mental health professionals might indicate barriers to mental health services that could mean many adolescents do not receive the care they need. The lack of access to mental health services, notably to child psychiatrists, reported by most respondents could explain why some physicians choose not to refer adolescents. OBJECTIF: Les objectifs de cette recherche étaient de documenter avec qui les omnipraticiens communiquent lorsqu’ils évaluent un adolescent ayant un problème de santé mentale, vers qui ils les dirigent, et quelles sont leurs connaissances et perceptions de l’accessibilité des services en santé mentale. TYPE D’ÉTUDE: Questionnaire postal anonyme. CONTEXTE: Province de Québec. PARTICIPANTS: Tous les omnipraticiens (n = 255) ayant vu au moins 10 adolescents par semaine parmi les 707 répondants ayant participé à une étude plus vaste sur la santé mentale des adolescents. PRINCIPAUX PARAMÈTRES MESURÉS: Si les omnipraticiens ont communiqué durant la dernière année avec les parents, les professeurs ou les infirmières scolaires, lors de l’évaluation d’un adolescent ayant un problème de santé mentale. Le nombre aiguillés durant la dernière année vers des ressources en santé mentale. La connaissance des services en santé mentale et la perception de l’accessibilité à ces services. RÉSULTATS: Concernant les 5 derniers adolescents vus avec une dépression ou idéation suicidaire, de 9 à 19 % des médecins, selon le type de pratique, ont répondu avoir communiqué automatiquement avec les parents; de 22 à 32 % ont affirmé n’avoir communiqué à aucune reprise. Durant la dernière année, de 16 à 43 % des médecins ont aiguillé 5 adolescents ou moins vers des ressources en santé mentale. La majorité des omnipraticiens ont répondu être informés adéquatement concernant les services en santé mentale offerts par le CLSC. Peu de médecins connaissent adéquatement les services offerts par les psychologues, les pédopsychiatres ou les organismes communautaires. Les CLSC étaient perçus comme les ressources les plus accessibles et la pédopsychiatrie, comme la moins accessible. CONCLUSION: Peu de médecins communiquent automatiquement avec les parents lors de l’évaluation d’un adolescent souffrant d’un problème sérieux de santé mentale. La collaboration entre les médecins de famille et les professionnels en santé mentale pourrait être améliorée. Le faible nombre d’aiguillages peut indiquer que des barrières empêchent l’intégration des services en santé mentale, privant possiblement plusieurs adolescents de soins requis. Le manque d’accessibilité, particulièrement aux pédopsychiatres, peut expliquer pourquoi certains médecins ont choisi de ne pas aiguiller des adolescents.
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