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Title: Resynchronization of estrus in beef cattle: ovarian function, estrus and fertility following progestin treatment and treatments to synchronize ovarian follicular development and estrus.
Author: Colazo MG, Kastelic JP, Small JA, Wilde RE, Ward DR, Mapletoft RJ.
Journal: Can Vet J; 2007 Jan; 48(1):49-56. PubMed ID: 17310622.
Abstract:
The objective was to optimize rebreeding of nonpregnant, previously inseminated beef cattle. In Experiment 1, 43 cows received a used intravaginal progesterone-releasing insert (IVPRI; Days 0-7) 12.3 d after ovulation and received concurrently no treatment, 100 microg gonadotropin releasing hormone (GnRH), 1 mg estradiol cypionate (ECP), or 150 mg progesterone. Emergence of a new ovarian follicular wave was most synchronous (P < 0.0001) in the GnRH group. In Experiment 2, 675 heifers were given GnRH or no treatment on Day 0, fed melengestrol acetate (MGA; 0.5 mg/head/d) from Days 0-5 (Day 0 = 13-14 d after timed insemination; TAI), given 0.5 mg ECP or nothing on Day 7, and reinseminated 6-12 h after onset of estrus. Estrus was more synchronous (P < 0.05) in heifers given GnRH versus no treatment on Day 0. In Experiment 3, 317 TAI heifers were resynchronized with either MGA or a used IVPRI with or without ECP on Day 7; estrus was more synchronous (P < 0.05) and pregnancy rates were higher (54.1% versus 39.2%, P < 0.05) in heifers given a used IVPRI than those fed MGA. For resynchronization of heifers, pregnancy rates were not significantly improved with GnRH treatment, but were higher with a used IVPRI than with MGA. Resynchronisation des œstrus chez les bovins de boucherie : fonction ovarienne, œstrus et fertilité à la suite d’un traitement aux progestatifs et de traitements visant à synchroniser le développement folliculaire ovarien et l’œstrus. L’objectif de cette étude était d’optimiser la reproduction de vaches de boucherie non gestantes après avoir été inséminées. Dans l’expérience 1, 43 vaches ont reçu un dispositif intravaginal usagé libérant de la progestérone (DILP; jours 0–7) 12,3 jours après l’ovulation et concurremment, aucun traitement, 100 μg de gonadolibérine (GnRH), 1 mg de cypionate d’oestradiol (ECP) ou 150 mg de progestérone. L’apparition d’une nouvelle vague folliculaire était plus synchronisée (P < 0,0001) dans le groupe GnRH. Dans l’expérience 2, 675 génisses ont reçu de la GnRH ou pas de traitement au jour 0, de l’acétate de mélengestrol dans l’alimentation (AMG; 0,5 mg/tête/j) des jours 0–5 (jour 0 = 13–14 jours après insémination systématique; 1S), 0,5 mg de ECP ou rien au jour 7 et ont été réinsiminées 6–12 h après le début de l’œstrus. L’œstrus était plus synchronisé (P < 0,05) chez les génisses ayant reçu de la GnRH comparé au groupe n’ayant pas reçu de traitement au jour 0. Dans l’expérience 3, 317 génisses IS ont été resynchronisées avec soit de l’AMG, soit un DILP usagé avec ou sans ECP au jour 7; l’œstrus était plus synchronisé (P < 0,05) et les taux de gestation plus élevés (54,1 % contre 39,2 %, P < 0,05) chez les génisses ayant reçu un DILP usagé que chez celles ayant reçu de l’AMG par voie alimentaire. Pour la resynchronisation des génisses, les taux de gestation n’étaient pas significativement améliorés avec le traitement à la GnRH mais étaient plus élevés avec le DILP usagé qu’avec l’AMG. (Traduit par Docteur André Blouin)

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