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  • Title: Epidemiology of early-onset neonatal group B streptococcal infection: implications for screening.
    Author: Konrad G, Katz A.
    Journal: Can Fam Physician; 2007 Jun; 53(6):1055, 2001:e.1-6, 1054. PubMed ID: 17872785.
    Abstract:
    OBJECTIVE: To determine the difference in outcomes between universal screening and risk-based assessment for prenatal group B streptococcus (GBS) infection based on the epidemiology of early-onset GBS infection in Winnipeg, Man, and to examine its implications for prenatal GBS screening. DESIGN: Retrospective random chart audit of 330 women receiving intrapartum hospital care and retrospective chart audit of all infants with early-onset neonatal GBS disease over 2 years. SETTING: Each of the 3 hospitals in Winnipeg, Man, offering intrapartum services. MAIN OUTCOME MEASURES: Maternal charts were audited for history of prenatal GBS screening, GBS status, clinical risk factors for neonatal GBS transmission, and use of intrapartum antibiotics to prevent neonatal GBS infection. Neonatal GBS records were audited for maternal clinical risk factors for GBS transmission, history of maternal GBS screening and GBS status, use of maternal intrapartum antibiotic prophylaxis, and neonatal outcome. RESULTS: Screening revealed a 26% GBS carrier rate in our population. Among these carriers, 70% (or 18% of the population) had no other clinical risk factors for neonatal GBS transmission. The transmission rate for untreated GBS-positive women was 1.74 per 1000 women. The differences in outcomes between universal and risk-based screening were small in our population. A total of 3449 women would require universal screening to prevent a single case of early-onset neonatal GBS disease that would occur if a risk-based approach were used (3 cases per year). This number increases to 68,966 to prevent a single GBS-related death (1 case in 7 years). An additional 679 women would receive intrapartum prophylactic antibiotics per year with universal screening than would have received antibiotics with a risk-based approach. CONCLUSION: The differences in neonatal GBS transmission rates resulting from universal versus risk-based screening in Winnipeg require universal screening of many women for results to become apparent. Universal screening and antibiotic prophylaxis of all GBS carriers result in increased antibiotic exposure in our population, which might carry its own risks. Therefore, patients should be involved in decisions on whether to be screened based on identification of risks and benefits. OBJECTIF: Déterminer les différences dans les résultats d’un dépistage universel par rapport à ceux d’un dépistage selon le risque en se fondant sur l’épidémiologie des infections aux SGB à début précoce à Winnipeg, au Manitoba et examiner leurs répercussions sur le dépistage prénatal des SGB. CONCEPTION: Une vérification aléatoire et rétrospective de 330 dossiers de femmes en soins hospitaliers intra-partum et une vérification rétrospective des dossiers de tous les nourrissons présentant une infection aux SGB à début précoce sur une période de 2 ans. CONTEXTE: Les 3 hôpitaux à Winnipeg au Manitoba offrant des services intra-partum. PRINCIPALES MESURES DES RÉSULTATS: On a vérifié dans les dossiers médicaux des mères les antécédents de dépistage prénatal des SGB, l’état maternel à cet égard, les facteurs de risque cliniques de transmission néonatale des SGB. Les dossiers des nouveau-nés ont ensuite été vérifiés pour déterminer les facteurs de risque clinique de transmission des SGB, les antécédents de dépistage maternel des SGB et l’état de la mère à cet égard, le recours à une prophylaxie antibiotique maternelle intra-partum et les résultats chez les nouveau-nés. RÉSULTATS: Le dépistage révélait une proportion de 26% de porteuses de SGB dans la population étudiée. De ces femmes, 70% (ou 18% de la population) n’avaient aucun autre facteur de risque clinique de transmission néonatale de SGB. Le taux de transmission chez les femmes porteuses de SGB non traitées était de 1,74 femme sur 1 000. Les différences dans les résultats entre le dépistage universel et celui en fonction du risque étaient minimes dans cette population. Il faudrait au total un dépistage universel auprès de 3 449 femmes pour prévenir un seul cas d’infection néonatale aux SGB à début précoce qui se produirait si une approche fondée sur le risque était utilisé (3 cas par année). Ce chiffre augmentait à 68 966 femmes pour prévenir un seul décès attribuable aux SGB (1 cas en 7 ans). Le dépistage universel se traduirait par 679 femmes additionnelles par année recevant des antibiotiques intra-partum par mesure de prophylaxie, en plus de celles dépistées en fonction d’une approche selon le risque. CONCLUSION: Les différences dans les taux de transmission néonatale des SGB découlant d’un dépistage universel par rapport à un dépistage fondé sur le risque à Winnipeg exigent un grand nombre de femmes pour qu’elles deviennent évidentes. Le dépistage universel et la prophylaxie aux antibiotiques de toutes les porteuses de SGB se traduisent par une hausse de l’exposition aux antibiotiques dans notre population qui, elle aussi, pourrait poser des risques. Par conséquent, les patientes devraient être consultées dans la décision de procéder ou non au dépistage prénatal des SGB.
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