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  • Title: Addition of sildenafil in patients with pulmonary arterial hypertension with inadequate response to bosentan monotherapy.
    Author: Porhownik NR, Al-Sharif H, Bshouty Z.
    Journal: Can Respir J; 2008; 15(8):427-30. PubMed ID: 19107243.
    Abstract:
    BACKGROUND: Pulmonary arterial hypertension (PAH) remains a progressive disease despite improvement when using one of three medication classes: prostanoids, endothelin receptor antagonists or phosphodiesterase-5 inhibitors. Combination therapy has been proposed for patients with unsatisfactory response to monotherapy. OBJECTIVES: To examine the effect of adding sildenafil to bosentan on 6 min walk distance (6MWD) and New York Heart Association (NYHA) classification in patients with PAH who achieved inadequate improvement with bosentan monotherapy. METHODS: Patients with idiopathic PAH or connective tissue disease-associated PAH, and who had either self-reported inadequate improvement in exercise tolerance or a decline in 6MWD after initial improvement, were included in the study (n=10). Data on 6MWD and NYHA class at baseline (before initiation of bosentan), three and six months after baseline, second baseline (before initiation of combination therapy with sildenafil), and three and six months after second baseline were analyzed for any changes. RESULTS: Mean time from initiation of bosentan monotherapy to initiation of combination therapy was 558 days (range 150 to 900 days). Six months after initiation of bosentan, 6MWD increased by 57.2 m above the baseline of 314.4 m. Six months after combination therapy, 6MWD was 62.80 m higher than the baseline before initiation of combination therapy of 339 m (P<0.02). The overall increase in 6MWD six months after combination therapy was higher than the first baseline by 87.4 m (P not significant). NYHA functional class did not improve with combination therapy in all patients. DISCUSSION: Initiating combination therapy in patients who achieve an inadequate improvement in exercise tolerance with monotherapy may result in further improvement in exercise tolerance. HISTORIQUE :: L’hypertension artérielle pulmonaire (HAP) demeure une maladie évolutive malgré l’amélioration apportée par l’usage de l’une des trois catégories de médicaments suivantes : prostanoïdes, antagonistes des récepteurs de l’endothéline ou inhibiteurs de la phosphodiestérase-5. On a proposé une polythérapie pour les patients qui ne répondent pas à la monothérapie de manière satisfaisante. OBJECTIFS :: Examiner les effets de l’ajout de sildénafil au bosentan sur une distance de marche de 6 minutes (DM6M) et sur la classification de la New York Heart Association (NYHA) chez les patients atteints d’HAP pour qui la monothérapie au bosentan n’apportait pas d’améliorations satisfaisantes. MÉTHODOLOGIE :: Des patients atteints d’HAP idiopathique ou d’HAP associée à une maladie des tissus conjonctifs, qui déclaraient eux-mêmes une amélioration insuffisante de la tolérance à l’exercice ou une diminution de la DM6M après une amélioration initiale ont participé à l’étude (n=10). Les auteurs ont analysé les données sur la DM6M et la classe du NYHA en début d’étude (avant le traitement au bosentan), trois mois et six mois après le début de l’étude, à la deuxième date de départ (avant le traitement au sildénafil) ainsi que trois et six mois plus tard afin d’établir s’ils constataient des changements. RÉSULTATS :: Le temps moyen entre le début de la monothérapie au bosentan et le début de la polythérapie était de 558 jours (plage de 150 à 900 jours). Six mois après le début du traitement au bosentan, la DM6M avait augmenté de 57,2 m par rapport à la distance de départ de 314,4 m. Six mois après le début de la polythérapie, la DM6M avait augmenté de 62,80 m par rapport aux 339 m au début de la polythérapie (P<0,02). L’augmentation globale de la DM6M six mois après la polythérapie était supérieure de 87,4 m à la première mesure de départ (P non significatif). Chez tous les patients, la classe fonctionnelle de la NYHA ne s’améliorait pas avec la polythérapie. EXPOSÉ :: L’adoption de la polythérapie peut favoriser une meilleure tolérance à l’exercice chez les patients dont la tolérance à l’exercice n’atteint pas un taux satisfaisant avec la monothérapie.
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