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  • Title: A biomechanical study of conventional acetabular internal fracture fixation versus locking plate fixation.
    Author: Mehin R, Jones B, Zhu Q, Broekhuyse H.
    Journal: Can J Surg; 2009 Jun; 52(3):221-8. PubMed ID: 19503667.
    Abstract:
    BACKGROUND: Conventional internal fixation entails the use of an interfragmentary lag screw along with a plate. Not all acetabular fractures are amenable to the placement of an interfragmentary lag screw, and the fracture may be displaced during tightening of the interfragmentary lag screw. Locking plates are a possible solution. We sought to determine whether a locking plate construct can provide stability equivalent to that provided with a conventional construct for transverse acetabular fractures. METHODS: We used 5 paired fresh-frozen cadaveric acetabula. We fixed one side with the conventional technique and the other side with a locking plate. We subjected each fixation to a cyclic compressive force up to 500 cycles, followed by compressive force until failure. We monitored 3-dimensional motion of the fracture. RESULTS: The average fracture gap at 50 N compressive force after 500 loading cycles was 0.41 (standard deviation [SD] 0.49) mm for the conventional plate and lag screw construct compared with 0.76 (SD 0.62) mm for the locked plate construct (p = 0.46). The force to failure, as defined by 2 mm of fracture gap, was 848 (SD 805) N for the conventional plate and lag screw construct compared with 506 (SD 277) N for the locked plate fixation (p = 0.34). CONCLUSION: The locking plate construct is as strong as the conventional plate plus interfragmentary lag screw construct for fixing transverse acetabular fractures. Locking plates may improve management of acetabular fractures by eliminating the need for placement of an interfragmentary lag screw. Furthermore, they may be helpful in revision hip arthroplasty in patients with pelvic discontinuity. CONTEXTE: Les fixations internes classiques obligent à utiliser une vis tire-fond interfragmentaire et une plaque. Les fractures acétabulaires ne se prêtent pas toutes à la mise en place d’une vis tire-fond interfragmentaire et la fracture peut être déplacée pendant le serrement de ce genre de vis. Les plaques d’immobilisation sont une solution possible. Nous avons cherché à déterminer si un montage à plaque d’immobilisation offre autant de stabilité que le montage classique pour les fractures acétabulaires transversales. MÉTHODES: Nous avons utilisé 5 paires d’acétabulum de cadavre frais congelé. Nous avons fixé un côté au moyen de la technique classique et l’autre, au moyen d’une plaque d’immobilisation. Nous avons soumis chaque fixation à une force de compression cyclique jusqu’à 500 cycles, suivie d’une force de compression jusqu’à la défaillance. Nous avons surveillé les mouvements tridimensionnels de la fracture. RÉSULTATS: L’écart moyen de la fracture à une compression de 50 N après 500 cycles de chargement s’établissait à 0,41 (écart-type [ET] 0,49) mm dans le cas du montage classique à plaque et vis tire-fond comparativement à 0,76 (ET 0,62) mm dans celui du montage à plaque d’immobilisation (p = 0,46). La force de défaillance, définie par un écart de 2 mm au niveau de la fracture, s’est établie à 848 (ET 805) N dans le cas du montage classique à plaque et vis tire-fond comparativement à 506 (ET 277) N dans celui du montage à plaque d’immobilisation (p = 0,34). CONCLUSION: Le montage à plaque d’immobilisation est aussi robuste que le montage classique à plaque et vis tire-fond interfragmentaire pour réduire une fracture acétabulaire transversale. Les plaques d’immobilisation peuvent améliorer la gestion des fractures acétabulaires en évitant d’avoir à mettre en place une vis tire-fond interfragmentaire. De plus, elles peuvent être utiles dans le contexte d’une révision d’une arthroplastie de la hanche chez les patients qui ont une discontinuité pelvienne.
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