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Title: Clinical inertia in patients with T2DM requiring insulin in family practice. Author: Harris SB, Kapor J, Lank CN, Willan AR, Houston T. Journal: Can Fam Physician; 2010 Dec; 56(12):e418-24. PubMed ID: 21156883. Abstract: OBJECTIVE: To describe the clinical status of patients with type 2 diabetes mellitus (T2DM) in the primary care setting at insulin initiation and during follow-up, and to assess the efficacy of insulin initiation and intensification. DESIGN: Ontario FPs from the IMS Health database who had prescribed insulin at least once in the 12 months before November 2006 were randomly selected to receive an invitation to participate. Eligible and consenting FPs completed a questionnaire for each of up to 10 consecutive eligible patients. Patient data were recorded from 3 time points. SETTING: Family practices in Ontario, Canada. PARTICIPANTS: One hundred and nine FPs and 379 of their T2DM patients taking insulin (with or without oral agents). MAIN OUTCOME MEASURES: Glycated hemoglobin (HbA₁(c)) levels, daily insulin dose, and use of concomitant oral agents at insulin initiation and 2 subsequent visits. RESULTS: Data from each patient were obtained on insulin initiation and intensification, glycemic control, further pharmacologic therapy, and related complications. Mean time from diagnosis of T2DM to insulin initiation was 9.2 years. Mean HbA₁(c) values were 9.5% before insulin initiation, 8.1% at visit 2 (median 1.2 years later), and 7.9% at visit 3 (median 3.9 years after initiation). Mean insulin dose was 24 units at initiation, 48 units at visit 2, and 65 units at visit 3. At visit 3, 20% of patients continued to have very poor glycemic control (HbA₁(c) > 9.0%). With the exception of a decrease in sulfonylurea use, concomitant use of oral antihyperglycemic agents remained static over time. CONCLUSION: Even in patients identified as being sufficiently high risk to warrant insulin therapy, a clinical care gap exists in physician efforts to achieve and sustain recommended HbA₁(c) target levels. Family physicians need strategies to facilitate earlier initiation and ongoing intensification of insulin therapy. OBJECTIF: Décrire l’état clinique des patients souffrant de diabète de type 2 (DT2) dans un contexte de soins primaires au moment de l’introduction de l’insuline et durant le suivi, et évaluer l’efficacité de l’introduction et de l’intensification de l’insuline. TYPE D’ÉTUDE: Choisis au hasard à partir de la base de données IMS Health, des MF ontariens qui avaient prescrit de l’insuline au moins une fois durant l’année précédant novembre 2006 ont été invités à participer. Les MF admissibles et consentants ont complété un questionnaire individuel concernant jusqu’à 10 patients admissibles consécutifs. Les données des patients ont été enregistrées à 3 étapes dans le temps. CONTEXTE: Cliniques de médecine familiale d’Ontario, Canada. PARTICIPANTS: Cent neuf MF et 379 de leurs patients diabétiques de type 2 recevant de l’insuline (avec ou sans hypoglycémiants oraux). PRINCIPAUX PARAMÈTRES À L’ÉTUDE: Niveaux d’hémoglobine glycosylée (HbA1c), dose quotidienne d’insuline et utilisation concomitante d’hypoglycémiants oraux au moment du début de l’insuline et à 2 visites subséquentes. RÉSULTATS: Pour chacun des patients, on a obtenu les données concernant l’introduction et l’intensification de l’insuline, le contrôle de la glycémie, les autres médicaments utilisés et les complications connexes. L’intervalle moyen séparant le diagnostic de DT2 et le début de l’insuline était de 9,2 ans. Les valeurs moyennes de l’HbA1c étaient de 9,5 % avant le début de l’insuline, de 8,1 % à la visite 2 (médiane = 1,2 an plus tard) et de 7,9 % à la visite 3 (médiane = 3,9 ans après le début de l’insuline). Les doses moyennes d’insuline étaient de 24 unités au début, 48 unités à la visite 2 et 65 unités à la visite 3. À cette dernière visite, 20 % des patients avaient toujours un contrôle inadéquat de leur glycémie. (HbA1c > 9,0%). Sauf pour une diminution des sulfonylurées, l’utilisation concomitante d’hypoglycémiants oraux n’a pas changé avec le temps. CONCLUSION: Même pour des patients qui présentent des risques suffisamment élevés pour justifier une insulinothérapie, les efforts des médecins pour atteindre et maintenir les niveaux cibles recommandés d’HbA1c demeurent insuffisants. Les MF ont besoin de stratégies favorisant l’introduction plus précoce et l’intensification subséquente de l’insulinothérapie.[Abstract] [Full Text] [Related] [New Search]