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  • Title: Managing expectations of surgical training: a national perspective on gynaecologic endoscopy practice.
    Author: Arendas K, Posner GD, Singh SS.
    Journal: J Obstet Gynaecol Can; 2013 Jul; 35(7):640-646. PubMed ID: 23876642.
    Abstract:
    OBJECTIVE: To determine if the opinion of obstetrics and gynaecology postgraduate trainees differs from practising gynaecologists with respect to the expected endoscopic surgical skill set of a general gynaecologist upon graduation from residency. METHODS: An electronic survey was designed, validated, and pre-tested. It was sent to 775 Canadian obstetrics and gynaecology residents, fellows, and practising physicians through the Society of Obstetricians and Gynaecologists of Canada's electronic mailing list. Survey respondents were asked their opinion on the level of training (no extra post-residency training vs. fellowship) required to perform various endoscopic procedures. RESULTS: We received 301 responses (39% response rate). Obstetrics and gynaecology trainees and practising physicians agreed on the training and skill level necessary to perform many endoscopic procedures. However, there were significant differences of opinion among trainees and practising physicians regarding advanced endoscopic procedures such as laparoscopic hysterectomy, cystotomy and enterotomy repair, and appendectomy. More trainees felt that a general gynaecologist without additional post-residency surgical training should be competent to perform such procedures, while practising physicians felt fellowship training was necessary. CONCLUSION: Our survey highlights the different expectations of learners versus those in practice with regard to skills required to perform certain endoscopic procedures, particularly laparoscopic hysterectomy. Trainees who responded believed that after graduation from residency any obstetrician-gynaecologist should be able to perform more advanced endoscopic procedures, but practising physicians did not agree. This discordance between learners and practising colleagues highlights an important educational challenge in obstetrics and gynaecology surgical training. Greater clarification of what is expected of our training programs would be beneficial for both residents and training programs. Objectif : Déterminer si l’opinion des stagiaires postdoctoraux en obstétrique-gynécologie diffère de celle des gynécologues praticiens en ce qui a trait à l’ensemble de compétences en chirurgie endoscopique dont devrait disposer un gynécologue généraliste à la fin de sa résidence. Méthodes : Un sondage électronique a été conçu, validé et prétesté. Nous l’avons fait parvenir, par l’intermédiaire de la liste de diffusion électronique de la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, à 775 résidents, boursiers et praticiens canadiens du domaine de l’obstétrique-gynécologie. Nous avons demandé aux répondants de nous fournir leur opinion quant au niveau de formation requis (aucune formation post-résidence supplémentaire vs fellowship) pour l’exécution de diverses interventions endoscopiques. Résultats : Nous avons reçu 301 réponses (taux de réponse de 39 %). Les stagiaires en obstétrique-gynécologie et les gynécologues prati­ciens étaient du même avis quant au niveau de formation et aux compétences nécessaires pour l’exécution de nombreuses interventions endoscopiques. Toutefois, nous avons constaté des différences d’opinion considérables entre les stagiaires et les praticiens en ce qui concerne les interventions endoscopiques avancées (comme l’hystérectomie laparoscopique, la réparation de cystostomie et d’entérostomie, et l’appendicectomie). Un plus grand nombre de stagiaires étaient d’avis qu’un gynécologue généraliste devrait, sans formation chirurgicale post-résidence supplémentaire, disposer de la compétence requise pour mener de telles interventions, tandis que les praticiens estimaient qu’une formation de type fellowship s’avérait nécessaire. Conclusion : Notre sondage souligne les différences en matière d’attentes, entre les stagiaires et les praticiens, en ce qui concerne les compétences requises pour mener certaines interventions endoscopiques (particulièrement l’hystérectomie laparoscopique). Les stagiaires ayant répondu au sondage estimaient que, à la fin du programme de résidence, tout obstétricien-gynécologue devrait être en mesure de mener des interventions endoscopiques plus avancées, mais les praticiens ne partageaient pas cet avis. Cet écart entre les stagiaires et les praticiens souligne l’existence d’un important défi pédagogique en ce qui concerne la formation chirurgicale en obstétrique-gynécologie. Une meilleure clarification des attentes envers nos programmes de formation s’avérerait bénéfique tant pour les résidents que pour les programmes de formation.
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