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Pubmed for Handhelds

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  • Title: Childhood maltreatment and aggressive behaviour in violent offenders with psychopathy.
    Author: Kolla NJ, Malcolm C, Attard S, Arenovich T, Blackwood N, Hodgins S.
    Journal: Can J Psychiatry; 2013 Aug; 58(8):487-94. PubMed ID: 23972111.
    Abstract:
    OBJECTIVE: To document experiences of childhood maltreatment among violent offenders with antisocial personality disorder (ASPD) distinguishing between those with and without the syndrome of psychopathy (+P and -P), and to determine whether maltreatment is associated with proactive and reactive aggression. METHOD: The sample included 10 violent offenders with ASPD+P, 15 violent offenders with ASPD-P, and 15 non offenders. All participants completed interviews with the same forensic psychiatrist focusing on physical, sexual, and emotional abuse prior to age 18 using the Early Trauma Inventory. Aggression was assessed using the Reactive-Proactive Questionnaire. RESULTS: Violent offenders with ASPD+P reported significantly more severe childhood physical abuse, but not more sexual or emotional abuse, than violent offenders with ASPD-P and non offenders. Psychopathy Checklist-Revised (PCL-R) scores, but not childhood physical abuse, were associated with proactive aggression. Childhood physical abuse was associated with reactive aggression, as was an interaction term indicating that when both PCL-R scores and childhood physical abuse were high, so was reactive aggression. CONCLUSIONS: Among violent offenders, PCL-R scores were positively associated with proactive aggression, while experiences of childhood maltreatment were not. This finding concurs with previous studies of children and adults and suggests that proactive aggression may be a behavioural marker of psychopathic traits. By contrast, childhood physical abuse was associated with reactive aggression, even among violent offenders with high PCL-R scores. This latter finding suggests a strong influence of childhood physical abuse on the development of reactive aggression that persists over the lifespan. Objectif : Documenter les expériences de maltraitance dans l’enfance chez les délinquants violents souffrant du trouble de la personnalité antisociale (TPA) en distinguant entre ceux avec syndrome de psychopathie et sans (+P et –P), et déterminer si la maltraitance est associée à l’agressivité proactive et réactive. Méthode : L’échantillon comprenait 10 délinquants violents souffrant du TPA+P, 15 délinquants violents souffrant du TPA–P, et 15 non-délinquants. Tous les participants ont été interviewés par le même psychiatre légiste à propos des abus physiques, sexuels, et émotionnels subis avant l’âge de 18 ans, à l’aide de l’inventaire des traumatismes précoces. L’agressivité a été évaluée par le questionnaire de l’agressivité réactive–proactive. Résultats : Les délinquants violents souffrant du TPA+P rapportaient des abus physiques dans l’enfance significativement plus graves, mais pas plus d’abus sexuels ou émotionnels que les délinquants violents souffrant du TPA–P et que les non-délinquants. Les scores à la liste de contrôle révisée de la psychopathie (PCL-R), mais pas l’abus physique dans l’enfance, étaient associés à l’agressivité proactive. L’abus physique dans l’enfance était associé à l’agressivité réactive, comme l’était une interaction qui indiquait que lorsque les scores à la PCL-R et l’abus physique dans l’enfance étaient élevés, l’agressivité réactive l’était aussi. Conclusions : Chez les délinquants violents, les scores à la PCL-R étaient positivement associés à l’agressivité proactive, alors que les expériences de maltraitance dans l’enfance ne l’étaient pas. Ce résultat est en conformité avec les études précédentes d’enfants et d’adultes et suggère que l’agressivité proactive peut être un marqueur comportemental de traits psychopathiques. Par contre, l’abus physique dans l’enfance était associé à l’agressivité réactive, même chez les délinquants violents ayant des scores élevés à la PCL-R. Ce dernier résultat suggère une forte influence de l’abus physique dans l’enfance sur le développement de l’agressivité réactive qui persiste durant la vie.
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