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  • Title: Hospitalized children continue to report undertreated and preventable pain.
    Author: Birnie KA, Chambers CT, Fernandez CV, Forgeron PA, Latimer MA, McGrath PJ, Cummings EA, Finley GA.
    Journal: Pain Res Manag; 2014; 19(4):198-204. PubMed ID: 24809068.
    Abstract:
    BACKGROUND: Published reports of substantial rates of moderate to severe pediatric inpatient pain tend to overlook lower-intensity pain that may be clinically significant. OBJECTIVE: To document the prevalence of clinically significant pain in pediatric inpatients by considering the pain threshold at which each child desires intervention, and to assess sources of pain, pain assessment and intervention, and relationships among demographic and medical variables to reported pain. METHODS: Inpatients or their parents on four hospital units during four nonconsecutive days were eligible for inclusion. Interviews (76 parents; 31&nbsp;patients) captured experiences of 107 inpatients (three weeks to 18&nbsp;years of age) including current, worst and usual pain, pain treatment thresholds, sources of pain and help received during the previous 24 h. A chart review provided data regarding demographic and medical variables, and pain assessment and management. RESULTS: In total, 94% of patients experienced pain. The prevalence of clinically significant pain was 8% (current), 62% (worst) and 24% (usual). Current and worst pain was primarily procedural, and usual pain was primarily disease related. On average, patients had 4.03 documented pain assessments over 24 h. Caregiver responses (eg, reassurance) and nonpharmacological interventions were frequently reported (>90%) but infrequently documented (<50%); 66% of patients received pharmacological interventions. Younger patients received fewer pain assessments and opioids. Patients with clinically significant usual pain were more likely to have undergone surgery, and receive more pain assessments and interventions. CONCLUSIONS: While recent studies suggest reduced pain in pediatric inpatients, the present findings reveal a continued high frequency of undertreated pain. High rates of procedural pain are preventable and should be targeted given the underutilization of pain management strategies. HISTORIQUE :: Les rapports publiés de taux importants de douleur modérée à grave chez les patients hospitalisés en pédiatrie ont tendance à sous-estimer la douleur de faible intensité qui peut être significative sur le plan clinique. OBJECTIF :: Étayer la prévalence de la douleur importante sur le plan clinique chez les patients hospitalisés en pédiatrie en évaluant le seuil de douleur auquel chaque enfant désire une intervention et évaluer les sources de douleur, d’évaluation de la douleur et d’intervention ainsi que le lien entre les variables démographiques et médicales et la douleur déclarée. MÉTHODOLOGIE :: Les patients hospitalisés ou leurs parents provenant de quatre unités hospitalières pendant quatre jours non consécutifs étaient admissibles à l’étude. Les entrevues (76 parents; 31 patients) ont saisi les expériences de 107 patients hospitalisés (de trois semaines à 18 ans), y compris la douleur courante, pire et habituelle, les seuils de traitement de la douleur, les sources de douleur et l’aide reçue pendant les 24 heures précédentes. Une analyse des dossiers a permis d’obtenir des données sur les variables démographiques et médicales, l’évaluation et la gestion de la douleur. RÉSULTATS :: Au total, 94 % des patients ont ressenti des douleurs. La prévalence de douleur importante sur le plan clinique s’élevait à 8 % (courante), 62 % (pire) et 24 % (habituelle). La douleur courante et pire était d’abord liée aux interventions, et la douleur habituelle était d’abord liée à la maladie. En moyenne, les patients présentaient des évaluations de douleur consignée de 4,03 sur 24 heures. Les mesures des personnes qui s’occupent d’eux (p. ex., les paroles rassurantes) et les interventions non pharmacologiques étaient souvent signalées (plus de 90 %), mais peu consignées (moins de 50 %); 66 % des patients ont reçu des interventions pharmacologiques. Les plus jeunes patients ont reçu moins d’évaluations de la douleur et d’opioïdes. Les patients ayant une douleur habituelle importante sur le plan clinique étaient plus susceptibles d’avoir subi une opération et de recevoir plus d’évaluations de la douleur et d’interventions. CONCLUSIONS :: Tandis que les études récentes indiquent une douleur réduite chez les patients hospitalisés en pédiatrie, les présentes observations révèlent une fréquence élevée et continue de douleur sous-traitée. Les taux élevés de douleur liée aux interventions sont évitables, et il faudrait les cibler compte tenu de la sous-utilisation des stratégies de gestion de la douleur.
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