These tools will no longer be maintained as of December 31, 2024. Archived website can be found here. PubMed4Hh GitHub repository can be found here. Contact NLM Customer Service if you have questions.
Pubmed for Handhelds
PUBMED FOR HANDHELDS
Search MEDLINE/PubMed
Title: Prevention of mother-to-child transmission of HIV in Kenya: challenges to implementation. Author: du Plessis E, Shaw SY, Gichuhi M, Gelmon L, Estambale BB, Lester R, Kimani J, Avery LS. Journal: BMC Health Serv Res; 2014; 14 Suppl 1(Suppl 1):S10. PubMed ID: 25079090. Abstract: BACKGROUND: The prevention of mother-to-child transmission of human immunodeficiency virus (HIV) is lauded as one of the more successful HIV prevention measures. However, despite some gains in the prevention of mother-to-child transmission of HIV (PMTCT) in sub-Saharan Africa, mother-to-child transmission rates are still high. In Kenya, mother-to-child transmission is considered one of the greatest health challenges and scaling up PMTCT services is crucial to its elimination by 2015. However, guideline implementation faces barriers that challenge scale-up of services. The objective of this paper is to identify barriers to PMTCT implementation in the context of a randomized control trial on the use of structured mobile phone messages in PMTCT. METHODS: The preliminary analysis presented here is based on survey data collected during enrolment in PMTCT services at one of two health facilities in Nairobi, Kenya, with overall number of antenatal care (ANC) visits determined from 48 hour follow up data. RESULTS: Data was collected for 503 women. Despite significant differences in the type of facility and sample characteristics between sites, all women presented to care at 20 weeks gestation or later and 88.8% attended less than four ANC visits. PMTCT counselling at first visit had high coverage (86%), however less than a third of women (31.34%) reported receiving contraception counselling. Although 60.8% of women had reportedly disclosed their status to their partners, only 40% were aware of their partner's status. Very few women had been tested for TB (10%) or received single dose nevirapine during their first antenatal care appointment (20%). CONCLUSION: Revised PMTCT guidelines aim to reduce the inequity between PMTCT services in high and low resource settings in efforts to eliminate mother-to-child transmission. However, guideline implementation in low resource settings continues to be confronted with challenges related to late presentation, less than four ANC visits, low screening rates for opportunistic infections, and limited contraception counselling. These challenges are further complicated by lack of disclosure to partners. Effective scale up and implementation of PMTCT services requires that such ongoing program challenges be identified and appropriately addressed within the local context. CONTEXTE: La prévention de la transmission du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) de la mère à l’enfant est reconnue comme l’une des méthodes de prévention du VIH les plus efficaces. Cependant, bien que l’on ait réalisé certains gains au chapitre de la prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant (PTME) en Afrique subsaharienne, les taux de transmission de la mère à l’enfant demeurent élevés. Au Kenya, la transmission de la mère à l’enfant est considérée comme l’un des plus grands problèmes de santé, et il est crucial de faire passer à grande échelle les services de PTME si l’on veut arriver à éliminer la transmission d’ici 2015. Toutefois, la mise en oeuvre de lignes directrices est entravée par des obstacles qui freinent le passage à grande échelle des services. L’objectif du présent article est de présenter les facteurs qui font obstacle à la mise en oeuvre de la PTME dans le contexte d’un essai comparatif avec répartition aléatoire sur l’utilisation d’un système de messages uniformisés pour la PTME. MÉTHODES: L’analyse préliminaire présentée ici s’appuie sur des données d’enquête recueillies durant l’inscription aux services de PTME à l’un de deux établissements de santé de Nairobi, au Kenya, où le nombre de visites en soins prénataux. Les données de suivi recueillies dans les 48 heures ont permis de déterminer le nombre de visites en soins prénataux. RÉSULTATS: Les données recueillies portaient sur 503 femmes. Si les deux établissements étaient très différents et que les caractéristiques de l’échantillon variaient beaucoup d’un établissement à l’autre, toutes les femmes se sont présentées à 20 semaines de gestation ou plus tard, et 88,8 % d’entre elles se sont présentées à moins de quatre visites en soins prénataux. Bien que 86 % des femmes aient reçu des services de counselling en PTME, moins du tiers (31,4 %) ont indiqué avoir reçu des conseils sur la contraception. De plus, tandis que 60,8 % des femmes ont dit avoir révélé leur statut sérologique à leur partenaire, seulement 40 % d’entre elles connaissaient celui de leur partenaire. Très peu de femmes avaient subi un test de dépistage de la tuberculose (10 %) ou reçu une dose unique de névirapine à l’occasion de leur premier rendez-vous en soins prénataux (20 %). CONCLUSION: Les lignes directrices en matière de PTME visent à réduire l’écart en matière de services de PTME entre les milieux favorisés et les milieux démunis afin d’éliminer la transmission de la mère à l’enfant. Cependant, la mise en oeuvre de ces lignes directrices dans les milieux défavorisés continue d’être entravée par des obstacles reliés aux premiers rendez-vous tardifs, au nombre limité de visites (moins de quatre), aux faibles taux de dépistage des infections opportunistes et au manque de services de counselling en contraception. Le fait que certaines femmes ignorent le statut sérologique de leur partenaire ne fait qu’aggraver ces problèmes. Le passage à grande échelle et la mise en oeuvre des services de PTME exigent que ces problèmes récurrents soient ciblés et abordés adéquatement en fonction du contexte local.[Abstract] [Full Text] [Related] [New Search]