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  • Title: Examining the clinical use of hemochromatosis genetic testing.
    Author: Lanktree MB, Lanktree BB, Paré G, Waye JS, Sadikovic B, Crowther MA.
    Journal: Can J Gastroenterol Hepatol; 2015; 29(1):41-5. PubMed ID: 25706573.
    Abstract:
    BACKGROUND: Hereditary hemochromatosis leads to an increased lifetime risk for end-organ damage due to excess iron deposition. Guidelines recommend that genetic testing be performed in patients with clinical suspicion of iron overload accompanied by elevated serum ferritin and transferrin saturation levels. OBJECTIVE: To evaluate guideline adherence and the clinical and economic impact of HFE genetic testing. METHODS: The electronic charts of patients submitted for HFE testing in 2012 were reviewed for genetic testing results, biochemical markers of iron overload and clinical history of phlebotomy. RESULTS: A total of 664 samples were sent for testing, with clinical, biochemical and phlebotomy data available for 160 patients. A positive C282Y homozygote or C282Y⁄H63D compound heterozygote test result was observed in 18% of patients. Patients with an at-risk HFE genotype had significantly higher iron saturation, serum iron and hemoglobin (P<0.001), without higher ferritin or liver enzyme levels. Fifty percent of patients referred for testing did not have biochemical evidence of iron overload (transferrin saturation >45% and ferritin level >300 μg⁄L). Patients were four times more likely to undergo phlebotomy if they were gene test positive (RR 4.29 [95% CI 2.35 to 7.83]; P<0.00001). DISCUSSION: One-half of patients referred for testing did not exhibit biochemical evidence of iron overload. Many patients with biochemical evidence of iron overload, but with negative genetic test results, did not undergo phlebotomy. A requisition to determine clinical indication for testing may reduce the use of the HFE genetic test. Finally, improvement of current genetic test characteristics would improve rationale for the test. CONCLUSION: A significant proportion of hemochromatosis genetic testing does not adhere to current guidelines and would not alter patient management. HISTORIQUE :: L’hématochromatose héréditaire s’associe à un plus grand risque à vie de dommage aux organes cibles causé par un dépôt excessif de fer. Les lignes directrices recommandent d’effectuer un test de dépistage génétique en cas de suspicion clinique de surcharge en fer accompagnée d’un taux élevé de ferritine sérique et d’une saturation de la transferrine. OBJECTIF :: Évaluer le respect des lignes directrices et les répercussions cliniques et économiques du test HFE. MÉTHODOLOGIE :: Les chercheurs ont examiné le dossier électronique des patients qui devaient subir un test HFE en 2012 afin de connaître leurs résultats génétiques, leurs marqueurs biochimiques de surcharge en fer et leurs antécédents cliniques de phlébotomie. RÉSULTATS :: Au total, 664 échantillons ont été envoyés au dépistage, et les chercheurs ont obtenu les données cliniques, les données biochimiques et la phlébotomie de 160 patients. Chez 18 % d’entre eux, le test a décelé une homozygotie C282Y ou une hétérozygotie composite C282Y et H63D. Les patients présentant un génotype HFE à risque avaient une saturation en fer, en fer sérique et en hémoglobine considérablement plus élevée (P<0,001), sans augmentation de leur taux de ferritine ou d’enzymes hépatiques. Cinquante pour cent des patients aiguillés pour le test ne présentaient pas de manifestations biochimiques de surcharge en fer (saturation en transferrine >45 % et taux de ferritine >300 μg/L). Les patients étaient quatre fois plus susceptibles de subir une phlébotomie si le test génétique était positif (RR 4,29 [95 % IC 2,35 à 7,83]; P<0,00001). EXPOSÉ :: La moitié des patients aiguillés pour subir le test ne présentaient pas de manifestations biochimiques de surcharge en fer. De nombreux patients qui présentaient des manifestations biochimiques de surcharge en fer, mais dont les résultats du test génétique étaient négatifs, n’ont pas subi de phlébotomie. Une réquisition pour établir l’indication clinique d’effectuer le test HFE peut en réduire l’utilisation. Enfin, en améliorant les caractéristiques du test génétique actuel, on en justifierait mieux l’utilisation. CONCLUSION :: Une proportion marquée de tests génétiques de l’hémochromatose ne respecte pas les lignes directrices et ne changerait pas la prise en charge des patients.
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