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  • Title: Post-transplant lymphoproliferative disorder in liver recipients: Characteristics, management, and outcome from a single-centre experience with >1000 liver transplantations.
    Author: Mumtaz K, Faisal N, Marquez M, Healey A, Lilly LB, Renner EL.
    Journal: Can J Gastroenterol Hepatol; 2015; 29(8):417-22. PubMed ID: 26076399.
    Abstract:
    BACKGROUND: The literature regarding post-transplant lymphoproliferative disorder (PTLD) in liver transplant recipients (LTRs) is limited. OBJECTIVES: To study the incidence, predictors and outcomes of PTLD after liver transplantation in a single, large-volume centre. METHODS: The charts of all LTRs (n=1372) in the authors' centre between January 2000 and June 2012 were retrospectively reviewed and those who developed PTLD were identified. Demographic, clinical and treatment data were prospectively collected. Responses to treatment, including complete response, no response, relapse and survival, were recorded. RESULTS: The incidence of PTLD in LTRs was 32 in 1372 (2.3%). Overall, median survival was 37 months (range 0.5 to 195 months), with one-, three- and five-year survival rates of 81%, 74% and 60%, respectively. Epstein-Barr virus (EBV)-negative patients had a better mean (± SD) survival (95±79 months) than EBV-positive patients (41±42 months) (P=0.02). For stage I⁄II PTLD, one-, three- and five-year actuarial survival was 87%, 87% and 75%, compared with 50%, 30% and 0% for stage III⁄IV PTLD, respectively (P=0.001). In patients with complete response, median survival was 58 months (range 10 to 195 months); and one-, three- and five-year actuarial survival was 100%, 94% and 76%, respectively, after diagnosis of PTLD. Changing immunosuppression (IS) from calcineurin inhibitor to sirolimus at the time of diagnosis may have improved survival (seven of seven survivors) compared with only decreasing or stopping IS (14 of 25 survivors) (P=0.07). CONCLUSIONS: This series from a single large-volume centre showed excellent short and long-term survival after PTLD in adult LTRs who were EBV negative, had early disease and showed complete response. Consistent with the known in vitro antiproliferative effect of sirolimus, switching IS from calcineurin inhibitor to sirolimus may improve survival. HISTORIQUE :: Les publications scientifiques sur les troubles lymphoprolifératifs après une transplantation (TLAP) chez des greffés du foie (GF) sont limitées. OBJECTIFS :: Étudier l’incidence, les prédicteurs et les résultats des TLAP chez les GF dans un seul centre à grand volume. MÉTHODOLOGIE :: Les auteurs ont effectué l’examen rétrospectif du dossier de tous les GF (n=1 372) de leur centre entre janvier 2000 et juin 2012 et extrait ceux qui ont présenté un TLAP. Ils ont fait une collecte prospective des données démographiques, cliniques et thérapeutiques. Ils ont saisi les réponses au traitement, y compris la réponse complète, l’absence de réponse, la récidive et la survie. RÉSULTATS :: Chez les GF, l’incidence de TLAP était de 32 cas sur 1 372 (2,3 %). Dans l’ensemble, la survie médiane était de 37 mois (plage de 0,5 à 195 mois) et le taux de survie au bout de un, trois et cinq ans de 81 %, 74 % et 60 %, respectivement. Les patients négatifs au virus d’Epstein-Barr (VEB) présentaient une meilleure survie moyenne (± ÉT) (95±79 mois) que ceux qui y étaient positifs (41±42 mois) (P=0,02). En cas de TLAP de stade I/II, la survie actuarielle au bout de un, trois et cinq ans s’élevait à 87 %, 87 % et 75 %, par rapport à 50 %, 30 % et 0 %, respectivement, pour la TLAP de stade III/IV (P=0,001). Chez les patients ayant une réponse complète, la survie moyenne était de 58 mois (plage de dix à 195 mois) et la survie actuarielle au bout de un, trois et cinq ans, de 100 %, 94 % et 76 %, respectivement, après le diagnostic de TLAP. Le passage du traitement immunosuppresseur (IS) par un inhibiteur de la calcineurine à un sirolimus au diagnostic a peut-être accru la survie (sept des sept survivants) par rapport à la diminution ou à l’abandon de l’IS (14 des 25 survivants) (P=0,07). CONCLUSIONS :: Cette série tirée d’un seul centre à grand volume a révélé une excellente survie à court et à long terme après un TLAP chez des GF adultes négatifs au VEB atteints peu après la transplantation et ayant une réponse complète. Conformément à l’effet antiprolifératif in vitro connu du sirolimus, le passage IS par un inhibiteur de la calcineurine au sirolimus améliore peut-être la survie.
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