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  • Title: Patterns of multiple health risk-behaviours in university students and their association with mental health: application of latent class analysis.
    Author: Kwan MY, Arbour-Nicitopoulos KP, Duku E, Faulkner G.
    Journal: Health Promot Chronic Dis Prev Can; 2016 Aug; 36(8):163-70. PubMed ID: 27556920.
    Abstract:
    INTRODUCTION: University and college campuses may be the last setting where it is possible to comprehensively address the health of a large proportion of the young adult population. It is important that health promoters understand the collective challenges students are facing, and to better understand the broader lifestyle behavioural patterning evident during this life stage. The purpose of this study was to examine the clustering of modifiable health-risk behaviours and to explore the relationship between these identified clusters and mental health outcomes among a large Canadian university sample. METHODS: Undergraduate students (n = 837; mean age = 21 years) from the University of Toronto completed the National College Health Assessment survey. The survey consists of approximately 300 items, including assessments of student health status, mental health and health-risk behaviours. Latent class analysis was used to identify patterning based on eight salient health-risk behaviours (marijuana use, other illicit drug use, risky sex, smoking, binge drinking, poor diet, physical inactivity, and insufficient sleep). RESULTS: A three-class model based on student behavioural patterns emerged: "typical," "high-risk" and "moderately healthy." Results also found high-risk students reporting significantly higher levels of stress than typical students (χ2(1671) = 7.26, p < .01). CONCLUSION: Students with the highest likelihood of engaging in multiple health-risk behaviours reported poorer mental health, particularly as it relates to stress. Although these findings should be interpreted with caution due to the 28% response rate, they do suggest that interventions targeting specific student groups with similar patterning of multiple health-risk behaviours may be needed. INTRODUCTION: Les campus universitaires et collégiaux sont sans doute les derniers milieux au sein desquels il est possible d’aborder de façon globale la question de la santé d’une grande proportion de la population de jeunes adultes. Il est important que les promoteurs de la santé saisissent en quoi consistent les difficultés collectives auxquelles font face les étudiants et qu’ils comprennent mieux les modèles plus larges de comportements liés au mode de vie qui se manifestent au cours de cette période de la vie. L’objectif de notre étude a été de déterminer des catégories de comportements à risque pour la santé modifiables et d’étudier la relation entre ces catégories et divers paramètres relevant de la santé mentale au sein d’un vaste échantillon d’étudiants universitaires canadiens. MÉTHODOLOGIE: Des étudiants de premier cycle (n = 837, âge moyen = 21 ans) de l’Université de Toronto ont répondu à l’enquête National College Health Assessment (NCHA) (évaluation nationale de la santé dans les collèges) qui comprend environ 300 éléments, dont des évaluations de l’état de santé, de la santé mentale et des comportements à risque pour la santé des étudiants. Nous avons réalisé une analyse des classes latentes pour relever des profils en fonction de huit comportements à risque pour la santé connus (consommation de marijuana, consommation d'autres drogues illégales, rapports sexuels à risque, tabagisme, excès occasionnel d’alcool, mauvaise alimentation, inactivité physique, manque de sommeil). RÉSULTATS: Nous avons obtenu un modèle à trois catégories axé sur les profils de comportement des étudiants : étudiants « typiques », « à risque élevé » et « relativement en bonne santé ». Nos résultats ont par ailleurs montré que les étudiants à risque élevé ont déclaré souffrir d’un niveau de stress considérablement plus élevé que celui des étudiants typiques (χ2 [1671] = 7,26; p < 0,01). CONCLUSION: Les étudiants les plus susceptibles d’adopter de multiples comportements à risque pour la santé ont fait état d’une moins bonne santé mentale, particulièrement en ce qui concerne le stress. Bien que l’on doive interpréter ces conclusions avec prudence en raison du taux de réponse de 28 %, celles-ci suggèrent néanmoins que l’on pourrait envisager des interventions ciblées auprès de groupes d’étudiants ayant des profils similaires de multiples comportements à risque pour la santé.
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