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  • Title: Host specificity and the structure of helminth parasite communities of fishes in a Neotropical river in Mexico.
    Author: Salgado-Maldonado G, Novelo-Turcotte MT, Caspeta-Mandujano JM, Vazquez-Hurtado G, Quiroz-Martínez B, Mercado-Silva N, Favila M.
    Journal: Parasite; 2016; 23():61. PubMed ID: 28004635.
    Abstract:
    In a tropical locality of Río La Antigua, Veracruz, Mexico, 11 fish species, represented by 244 individual fish from six freshwater fish families living sympatrically and synchronically, were examined for helminth parasites. A total of 36 taxa of helminths were recorded, 24 autogenic and 12 allogenic forms, including 6 monogeneans, 14 trematodes, 1 cestode, and 15 nematodes. Most helminth taxa were recovered for 10/11 of the component communities we analyzed. The results contribute empirical evidence that host specificity is an important force in the development of helminth communities of freshwater fishes. Each fish family has their own set of parasites, host species belonging to the same taxon share parasite species. High component community similarity among related host species was recorded, demonstrated by high prevalence and abundance, as well as dominance, of autogenic specialist species in each component community. Most autogenic helminth species are numerically and reproductively successful in relatively few host species. Autogenic helminths common in one host species are not common in others. Our findings give empirical support to the idea that low levels of sharing of parasites favor animal coexistence and high species richness, because large phylogenetic differences allow potentially competing animals to consume the same resources without being sensitive of another's parasites. Dans une localité tropicale de Río La Antigua, Veracruz, au Mexique, onze espèces de poissons, représentées par 244 individus appartenant à 6 familles de poissons d’eau douce vivant en sympatrie et en synchronie, ont été examinées pour détecter les helminthes parasites. Un total de 36 taxons d’helminthes ont été trouvés, 24 autogènes et 12 allogènes, dont 6 monogènes, 14 trématodes, 1 cestode et 15 nématodes. La plupart des taxons d’helminthes ont été trouvés dans 10/11 des communautés de composants que nous avons analysées. Les résultats apportent une preuve empirique que la spécificité à l’hôte est une force importante dans le développement des communautés d’helminthes des poissons d’eau douce. Chaque famille de poissons a son propre ensemble de parasites et les espèces d’hôtes appartenant au même taxon partagent des espèces de parasites. Une similarité élevée des composants de la communauté parmi les espèces liées a été enregistrée, et ceci a été démontré par la prévalence et l’abondance élevées, ainsi que la dominance, des espèces autogènes spécialisées dans chaque communauté de composantes. La plupart des espèces d’helminthes autogènes ont un succès numérique et reproductif chez un relativement faible nombre d’espèces d’hôtes. Les helminthes autogènes communs dans une espèce hôte ne sont pas fréquents dans d’autres. Nos résultats fournissent un soutien empirique à l’idée que des faibles niveaux de partage des parasites favorisent la coexistence des animaux et une richesse élevée en espèces, parce que des grandes différences phylogénétiques permettent aux animaux potentiellement concurrents de consommer les mêmes ressources sans être sensibles aux parasites d’un autre.
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