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Title: Neoandracantha peruensis n. gen. n. sp. (Acanthocephala, Polymorphidae) described from cystacanths infecting the ghost crab Ocypode gaudichaudii on the Peruvian coast.
Author: Amin OM, Heckmann RA.
Journal: Parasite; 2017; 24():40. PubMed ID: 29072573.
Abstract:
The cystacanths of Neoandracantha peruensis n. gen. n. sp. are described from the ghost crab Ocypode gaudichaudii collected from the Pacific coast of Peru. While it is uncommon to describe acanthocephalan taxa from immature stages, the presence of clear-cut distinguishing features separating the present material from its nearest congeneric taxa, and the absence of adults, justifies the erection N. peruensis. The new genus is distinguished by having three separate fields of trunk spines. Specimens of N. peruensis have a slender trunk with two anterior swellings, 3 separate fields of spines on the foretrunk swelling, and no genital spines on the hindtrunk. The proboscis of the new species is heavily armored with 21-22 longitudinal rows of 22 hooks each. Hook no. 14 is more robust ventrally than dorsally. Cystacanths of N. peruensis also have a long tubular hindtrunk and the males have diagonal testes in the midtrunk swelling. Specimens of the closely related Andracantha Schmidt, 1975 have anteriorly enlarged pear-shaped Corynosoma-like trunks, only two fields of anterior trunk spines with occasional genital spines, and bilateral or tandem testes. Proboscides of species of Andracantha have considerably fewer hooks that gradually decrease in size posteriorly. The taxonomic component of this work is amplified by metal analysis of hooks and spines that shows a marked amount of magnesium (Mg) in hooks but not in spines. The highest level of sulfur (S) was found in the outer layer of hooks and anterior spines. The metal footprint of hooks and spines varies in different species of acanthocephalans and has an interspecific diagnostic value. Les cystacanthes de Neoandracantha peruensis n. gen. n. sp. sont décrits à partir de spécimens du crabe Ocypode guadichaudi recueillis sur la côte Pacifique au Pérou. Bien qu'il soit rare de décrire les taxons d'Acanthocéphales à partir de stades immatures, la présence de caractéristiques distinctives séparant clairement ce matériel de ses taxons congénères les plus proches, en l'absence d'adultes, justifie l'érection de N. peruensis. Le nouveau genre se distingue par l'existence de trois champs distincts d'épines sur le tronc. Les spécimens de N. peruensis ont un tronc mince avec deux renflements antérieurs, 3 champs d'épines séparés sur le renflement à l'avant du tronc et pas d'épines génitales sur l'arrière du tronc. Le proboscis de la nouvelle espèce est lourdement armé avec 21 à 22 lignes longitudinales de 22 crochets chacun. Le crochet numéro 14 est plus robuste ventralement que dorsalement. Les cystacanthes de N. peruensis ont également un tronc long et tubulaire et les mâles ont des testicules diagonaux dans le renflement du milieu du tronc. Les spécimens du genre proche Andracantha Schmidt, 1975 ont un tronc élargi à l'avant en forme de poire comme Corynosoma, seulement deux champs d'épines sur le tronc antérieur avec des épines génitales occasionnelles et des testicules bilatéraux ou en tandem. Les proboscis des espèces d'Andracantha ont beaucoup moins de crochets, qui diminuent graduellement en taille à l'arrière. La composante taxonomique de ce travail est renforcée par l'analyse des métaux des crochets et des épines, qui montre une quantité marquée de magnésium (Mg) dans les crochets mais pas les épines. Le plus haut niveau de soufre (S) a été trouvé dans la couche externe des crochets et des épines antérieures. L'empreinte métallique des crochets et des épines varie selon les différentes espèces d'Acanthocéphales et a une valeur diagnostique interspécifique.

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