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  • Title: Derivation and application of a composite annoyance reaction construct based on multiple wind turbine features.
    Author: Michaud DS, Marro L, McNamee J.
    Journal: Can J Public Health; 2018 Apr; 109(2):242-251. PubMed ID: 29981033.
    Abstract:
    OBJECTIVES: Noise emissions from wind turbines are one of multiple wind turbine features capable of generating annoyance that ranges in magnitude from not at all annoyed to extremely annoyed. No analysis to date can simultaneously reflect the change in all magnitudes of annoyance toward multiple wind turbine features. The primary objective in this study was to use principal component analysis (PCA) to provide a single construct for overall annoyance to wind turbines based on reactions to noise, blinking lights, shadow flicker, visual impacts, and vibrations evaluated as a function of proximity to wind turbines. METHODS: The analysis was based on data originally collected as part of Health Canada's cross-sectional Community Noise & Health Study (CNHS). One adult participant (18-79 years), randomly selected from dwellings in Ontario (ON) (n = 1011) and Prince Edward Island (PEI) (n = 227), completed an in-person questionnaire. Content relevant to the current analysis included the annoyance responses to wind turbines. RESULTS: The first construct tested in the PCA explained 58-69% of the variability in total annoyance. Reduced distance to turbines was associated with elevated aggregate annoyance scores among ON and PEI participants. In the ON sample, aggregate annoyance was effectively absent in areas beyond 5 km (mean 0.12; 95% CI 0.00, 1.19), increasing significantly between (2 and 5] km (mean 2.13; 95% CI 0.92, 3.33), remaining elevated, but with no further increase until (0.550-1] km (mean 3.37; 95% CI 3.02, 3.72). At ≤ 0.550 km, the average overall annoyance was 3.36 (95% CI 2.03, 4.69). In PEI, aggregate annoyance was essentially absent beyond 1 km; i.e., (1-2] km (mean 0.21; 95% CI 0.00, 0.88); (2-5] km (mean 0.00; 95% CI 0.00, 1.37); > 5 km (mean 0.00; 95% CI 0.00, 1.58). Annoyance significantly increased in areas between (0.550 and 1] km (mean 1.59; 95% CI 1.02, 2.15) and was highest within 550 m (mean 4.25; 95% CI 3.34, 5.16). CONCLUSION: The advantages and disadvantages to an aggregated annoyance analysis, including how it should not yet be considered a substitute for relationships based on changes in high annoyance, are discussed. OBJECTIFS: Le bruit est l’une des nombreuses caractéristiques des éoliennes susceptibles de causer de la gêne selon une fourchette allant de pas du tout gênant à extrêmement gênant. Aucune analyse n’a pu jusqu’à maintenant exprimer simultanément le changement de tous les niveaux de gêne en lien avec les nombreuses caractéristiques des éoliennes. Le principal objectif de cette étude était d’utiliser l’analyse en composantes principales (ACP) pour obtenir un indice unique de la gêne globale causée par les éoliennes (d’après les réactions au bruit, aux lumières clignotantes, l'effet stroboscopique, aux impacts visuels et aux vibrations), évalué en fonction de la proximité des éoliennes. MÉTHODE: Cette analyse était fondée sur des données recueillies à l’origine dans le cadre de l’Étude transversale sur le bruit ambiant et la santé (ÉBAS) de Santé Canada. Des participants adultes (18 à 79 ans), un par ménage, sélectionnés au hasard en Ontario (n = 1011) et à l’Île-du-Prince-Édouard (n = 227) ont rempli un questionnaire en personne. Les données pertinentes pour cette analyse étaient les réactions de gêne à l’égard des éoliennes. RÉSULTATS: La première composante principale de l’ACP a expliqué de 58% à 69% de la variabilité de la gêne totale. Plus les éoliennes étaient proches, plus les indices de gêne globaux étaient élevés chez les participants de l’Ontario et de l’Île-du-Prince-Édouard. Dans l’échantillon de l’Ontario, la gêne globale était essentiellement absente dans les zones situées au-delà de 5 km (moyenne 0,12; IC à 95% 0,00, 1,19), augmentant significativement entre (2 et 5] km (moyenne 2,13; IC à 95% 0,92, 3,33), restant élevée mais sans augmentation supplémentaire jusqu’à (0,550–1] km (moyenne 3,37; IC à 95% 3,02, 3,72). À ≤ 0,550 km, la gêne globale moyenne était de 3,36 (IC à 95% 2,03, 4,69). À l’Île-du-Prince-Édouard, la gêne globale était essentiellement absente au-delà de 1 km; c’est-à-dire (1–2] km (moyenne 0,21; IC à 95% 0,00, 0,88); (2–5] km (moyenne 0,00; IC à 95% 0,00, 1,37); > 5 km (moyenne 0,00; IC à 95% 0,00 1,58). La gêne globale augmentait significativement dans les zones comprises entre (0,550 et 1] km (moyenne 1,59; IC à 95% 1,02, 2,15) et était la plus élevée à l’intérieur de 550 m (moyenne 4,25; IC à 95% 3,34, 5,16). CONCLUSION: Les avantages et les inconvénients d’une analyse de la gêne globale, y compris le fait qu’elle ne peut pas encore être considérée comme pouvant remplacer les relations fondées sur les changements des niveaux de gêne élevés, sont décrits.
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