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Title: Trends in the awareness, acceptability, and usage of HIV pre-exposure prophylaxis among at-risk men who have sex with men in Toronto. Author: Rana J, Wilton J, Fowler S, Hart TA, Bayoumi AM, Tan DHS. Journal: Can J Public Health; 2018 Jun; 109(3):342-352. PubMed ID: 29981088. Abstract: OBJECTIVES: Pre-exposure prophylaxis (PrEP) with daily oral tenofovir/emtricitabine dramatically reduces HIV risk in men who have sex with men (MSM). However, uptake is slow worldwide. METHODS: We administered anonymous cross-sectional questionnaires to MSM presenting for anonymous HIV testing at a Toronto sexual health clinic at four successive time points during the period 2013-2016. We assessed trends in PrEP awareness, acceptability, and use over time using the Cochran-Armitage Trend Test, and identified barriers to using PrEP by constructing "PrEP cascades" using 2016 data. We assumed that to use PrEP, MSM must (a) be at risk for HIV, (b) be at objectively high risk (HIRI-MSM score ≥ 10), (c) perceive themselves to be at medium-to-high risk, (d) be aware of PrEP, (e) be willing to use PrEP, (f) have a family doctor, (g) be comfortable discussing sexual health with that doctor, and (h) have drug coverage/be willing to pay out of pocket. RESULTS: MSM participants were mostly white (54-59.5%), with median age 31 years (IQR = 26-38). PrEP awareness and use increased significantly over time (both p < 0.0001), reaching 91.3% and 5.0%, respectively, in the most recent wave. Willingness to use PrEP rose to 56.5%, but this increase did not reach statistical significance (p = 0.06). The full cascade, ABCDEFGH, suggested few could readily use PrEP under current conditions (11/400 = 2.8%). The largest barriers, in descending order, were low self-perceived HIV risk, unwillingness to use PrEP, and access to PrEP providers. CONCLUSION: To maximize its potential public health benefits, PrEP scale-up strategies must address self-perceived HIV risk and increase access to PrEP providers. OBJECTIFS: La prise quotidienne de ténofovir et d’emtricitabine à titre de prophylaxie pré-exposition (PPrE) orale réduit considérablement le risque de contracter le VIH chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HARSAH). L’adoption de cette PPrE à l’échelle mondiale est toutefois lente. MÉTHODE: Nous avons fait passer des questionnaires transversaux anonymes à des HARSAH s’étant présentés pour un dépistage anonyme du VIH dans une clinique de santé sexuelle de Toronto à quatre moments consécutifs entre 2013 et 2016. Nous avons évalué les tendances liées à la connaissance, à l’acceptabilité et à l’utilisation de la PPrE au fil du temps à l’aide du test de tendance de Cochran-Armitage et déterminé les obstacles à l’utilisation de la PPrE en construisant des « cascades de PPrE » avec les données de 2016. Nous avons présumé que pour utiliser la PPrE, les HARSAH doivent: (a) être à risque de contracter le VIH, (b) courir un risque objectivement élevé (note ≥ 10 sur l’échelle HIRI-MSM), (c) se percevoir comme courant un risque moyen à élevé, (d) connaître la PPrE, (e) être disposés à utiliser la PPrE, (f) avoir un médecin de famille, (g) être à l’aise de parler de santé sexuelle avec ce médecin, et (h) avoir une assurance-médicaments ou être disposés à défrayer le coût des médicaments. RÉSULTATS: Les HARSAH participants étaient en majorité de race blanche (54% à 59,5%) et avaient un âge médian de 31 ans (écart interquartile 26–38). Leur connaissance et leur utilisation de la PPrE a sensiblement augmenté au fil du temps (p < 0,0001 dans les deux cas), pour atteindre 91,3% et 5% respectivement au cours du cycle le plus récent. Leur volonté d’utiliser la PPrE est passée à 56,5%, mais cette hausse n’était pas statistiquement significative (p = 0,06). La cascade complète, ABCDEFGH, montre que peu d’entre eux pouvaient facilement utiliser la PPrE dans leur situation actuelle (11/400 = 2,8%). Les plus grands obstacles, en ordre descendant, étaient le faible risque autoperçu de contracter le VIH, la réticence à utiliser la PPrE et le manque d’accès aux dispensateurs de la PPrE. CONCLUSION: Pour en maximiser les bienfaits éventuels pour la santé publique, les stratégies de mise à l’échelle de la PPrE doivent tenir compte de l’autoperception du risque de contracter le VIH et élargir l’accès aux dispensateurs de la PPrE.[Abstract] [Full Text] [Related] [New Search]