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  • Title: Tobacco, alcohol and marijuana use among Indigenous youth attending off-reserve schools in Canada: cross-sectional results from the Canadian Student Tobacco, Alcohol and Drugs Survey.
    Author: Sikorski C, Leatherdale S, Cooke M.
    Journal: Health Promot Chronic Dis Prev Can; 2019 Jun; 39(6-7):207-215. PubMed ID: 31210046.
    Abstract:
    INTRODUCTION: Ongoing surveillance of youth substance use is essential to quantify harms and to identify populations at higher risk. In the Canadian context, historical and structural injustices make monitoring excess risk among Indigenous youth particularly important. This study updated national prevalence rates of tobacco, alcohol, and marijuana use among Indigenous and non-Indigenous students. METHODS: Differences in tobacco, alcohol, and marijuana use were examined, using logistic regression, among 1700 Indigenous and 22 800 non-Indigenous youth in Grades 9-12 who participated in the 2014/15 Canadian Student Tobacco, Alcohol and Drugs Survey. Differences by sex were also examined. Mean age of first alcohol and marijuana use was compared in the two populations using OLS regression. Results were compared to 2008/09 data. RESULTS: While smoking, alcohol, and marijuana rates have decreased compared to 2008/09 in both populations, the gap between the populations has mostly not. In 2014/15, Indigenous youth had higher odds of smoking (odds ratio [OR]: 5.26; 95% confidence interval [CI]: 3.54-7.81) and past-year drinking (OR: 1.43; 95% CI: 1.16- 1.76) than non-Indigenous youth. More Indigenous than non-Indigenous youth attempted quitting smoking. Non-Indigenous males were less likely to have had at least one drink in the past-year compared to non-Indigenous females. Indigenous males and females had higher odds of past-year marijuana use than non-Indigenous males (OR: 1.84; 95% CI: 1.32-2.56) and females (OR: 2.87; 95% CI: 2.15-3.84). Indigenous youth, especially males, drank alcohol and used marijuana at younger ages. CONCLUSION: Additional policies and programs are required to help Indigenous youth be successful in their attempts to quit smoking, and to address high rates of alcohol and marijuana use. INTRODUCTION: Le suivi de la consommation de substances chez les jeunes est essentiel pour en quantifier les méfaits et pour repérer les populations à risque élevé. Le contexte canadien, étant données les injustices historiques et structurelles qu’il implique, rend particulièrement importante l’observation de risques accrus chez les jeunes autochtones. Cette étude offre une actualisation des taux nationaux de prévalence de la consommation de tabac, d’alcool et de cannabis chez les élèves autochtones et non autochtones. MÉTHODOLOGIE: Nous avons examiné, au moyen d’une régression logistique, les différences dans la consommation de tabac, d’alcool et de cannabis chez 1 700 jeunes autochtones et 22 800 jeunes non autochtones de la 9e à la 12e année ayant participé à l’Enquête canadienne sur le tabac, l’alcool et les drogues chez les élèves de 2014-2015. Nous avons également examiné les différences selon le sexe. Nous avons comparé l’âge moyen de la première consommation d’alcool et de cannabis dans les deux populations au moyen d’une régression des moindres carrés ordinaires. Nous avons comparé les résultats aux données de 2008-2009. RÉSULTATS: Bien que les taux de consommation de tabac, d’alcool et de cannabis soient en baisse par rapport à 2008-2009 au sein des deux populations, l’écart entre les deux n’a pratiquement pas diminué. En 2014-2015, les jeunes autochtones étaient davantage susceptibles que les jeunes non autochtones de fumer (rapport de cotes [RC] : 5,26; intervalle de confiance [IC] à 95 % : 3,54 à 7,81) et d’avoir consommé de l’alcool au cours des 12 derniers mois (RC : 1,43; IC à 95 % : 1,16 à 1,76). Davantage de jeunes autochtones que de jeunes non autochtones avaient tenté d’arrêter de fumer. Les garçons non autochtones étaient moins susceptibles que les filles non autochtones d’avoir bu au moins un verre d’alcool au cours des 12 derniers mois. Les garçons autochtones étaient plus susceptibles d’avoir consommé du cannabis au cours des 12 derniers mois que les garçons non autochtones (RC : 1,84; IC à 95 % : 1,32 à 2,56), de même que les filles autochtones l’étaient plus que les filles non autochtones (RC : 2,87; IC à 95 % : 2,15 à 3,84). Les jeunes autochtones, en particulier les garçons, avaient commencé à consommer de l’alcool et du cannabis à un âge plus précoce. CONCLUSION: Des politiques et programmes supplémentaires sont nécessaires pour mieux soutenir les jeunes autochtones dans leurs tentatives d’abandon du tabac et pour s’attaquer aux taux élevés de consommation d’alcool et de cannabis. Despite decreased prevalence of smoking and increased attempts to quit, Indigenous youth had more than 5 times higher odds of being smokers compared to non-Indigenous youth. Indigenous youth, especially males, drank alcohol and used marijuana at a younger age compared to non-Indigenous youth. Compared to 2008/09, rates of pastyear alcohol use, binge drinking, and marijuana use decreased in both Indigenous and non-Indigenous youth in 2014/15. Binge drinking decreased the most, by about 30% in both populations. Indigenous males had 1.8 higher odds of past-year marijuana use compared to non-Indigenous males, whereas females had 2.8 times higher odds compared to non-Indigenous females. Malgré une diminution de la prévalence du tabagisme et une augmentation du nombre de tentatives d’abandon du tabac, les jeunes autochtones étaient cinq fois plus susceptibles de fumer que les jeunes non autochtones. Les jeunes autochtones, en particulier les garçons, avaient commencé à consommer de l’alcool et du cannabis à un âge plus précoce que les jeunes non autochtones. Comparativement à 2008-2009, les taux de consommation d’alcool, d’hyperalcoolisation rapide et de consommation de cannabis au cours des 12 derniers mois avaient diminué en 2014-2015 chez les jeunes autochtones comme chez les jeunes non autochtones. C’est l’hyperalcoolisation rapide qui a connu la plus grande diminution, soit environ 30 % dans les deux populations. Les garçons autochtones étaient 1,8 fois plus susceptibles que les garçons non autochtones d’avoir consommé du cannabis au cours des 12 derniers mois, tandis que les filles autochtones l’étaient 2,8 fois plus que les filles non autochtones.
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