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Title: Perspectives of Pediatric Nephrologists, Intensivists and Nurses Regarding AKI Management and Expected Outcomes. Author: Che A, D'Arienzo D, Dart A, Mammen C, Samuel S, Alexander T, Morgan C, Blydt-Hansen T, Fontela P, Guerra GG, Chanchlani R, Wang S, Cockovski V, Jawa N, Lee J, Nunes S, Reynaud S, Zappitelli M. Journal: Can J Kidney Health Dis; 2023; 10():20543581231168088. PubMed ID: 37359983. Abstract: BACKGROUND: Acute kidney injury (AKI) in critically ill children is associated with increased risk for short- and long-term adverse outcomes. Currently, there is no systematic follow-up for children who develop AKI in intensive care unit (ICU). OBJECTIVE: This study aimed to assess variation regarding management, perceived importance, and follow-up of AKI in the ICU setting within and between healthcare professional (HCP) groups. DESIGN: Anonymous, cross-sectional, web-based surveys were administered nationally to Canadian pediatric nephrologists, pediatric intensive care unit (PICU) physicians, and PICU nurses, via professional listservs. SETTING: All Canadian pediatric nephrologists, PICU physicians, and nurses treating children in the ICU were eligible for the survey. PATIENTS: N/A. MEASUREMENTS: Surveys included multiple choice and Likert scale questions on current practice related to AKI management and long-term follow-up, including institutional and personal practice approaches, and perceived importance of AKI severity with different outcomes. METHODS: Descriptive statistics were performed. Categorical responses were compared using Chi-square or Fisher's exact tests; Likert scale results were compared using Mann-Whitney and Kruskal-Wallis tests. RESULTS: Surveys were completed by 34/64 (53%) pediatric nephrologists, 46/113 (41%) PICU physicians, and 82 PICU nurses (response rate unknown). Over 65% of providers reported hemodialysis to be prescribed by nephrology; a mix of nephrology, ICU, or a shared nephrology-ICU model was reported responsible for peritoneal dialysis and continuous renal replacement therapy (CRRT). Severe hyperkalemia was the most important renal replacement therapy (RRT) indication for both nephrologists and PICU physicians (Likert scale from 0 [not important] to 10 [most important]; median = 10, 10, respectively). Nephrologists reported a lower threshold of AKI for increased mortality risk; 38% believed stage 2 AKI was the minimum compared to 17% of PICU physicians and 14% of nurses. Nephrologists were more likely than PICU physicians and nurses to recommend long-term follow-up for patients who develop any AKI during ICU stay (Likert scale from 0 [none] to 10 [all patients]; mean=6.0, 3.8, 3.7, respectively) (P < .05). LIMITATIONS: Responses from all eligible HCPs in the country could not obtained. There may be differences in opinions between HCPs that completed the survey compared to those that did not. Additionally, the cross-sectional design of our study may not adequately reflect changes in guidelines and knowledge since survey completion, although no specific guidelines have been released in Canada since survey dissemination. CONCLUSIONS: Canadian HCP groups have variable perspectives on pediatric AKI management and follow-up. Understanding practice patterns and perspectives will help optimize pediatric AKI follow-up guideline implementation. CONTEXTE: L’insuffisance rénale aiguë (IRA) chez les enfants gravement malades est associée à un risque accru d’issues défavorables à court et à long terme. En ce moment, il n’existe aucun suivi systématique pour les enfants qui développent une IRA pendant un séjour à l’unité des soins intensifs (USI). OBJECTIF: Cette étude visait à évaluer les variations dans la prise en charge de l’IRA, de son importance perçue et de son suivi, tant au sein des groupes de professionnels de la santé (PS) qu’entre les différents groupes de PS. CONCEPTION: Des sondages transversaux à remplir de façon anonyme en ligne ont été menés à l’échelle nationale auprès de néphrologues pédiatriques canadiens, de médecins des unités de soins intensifs pédiatriques (USIP) et de membres du personnel infirmier des USIP ayant été répertoriés à partir de listes professionnelles. CADRE: Tous les néphrologues pédiatriques canadiens, médecins et membres du personnel infirmier qui traitent des enfants en USI étaient admissibles à répondre au sondage. PATIENTS: S/O. MESURES: Les sondages comportaient des questions à choix multiples et des questions de type échelle de Likert qui portaient sur les pratiques actuelles de la gestion et de suivi à long terme de l’IRA, notamment sur les approches institutionnelles et personnelles de pratique et sur l’importance perçue de la gravité de l’IRA avec différents résultats. MÉTHODOLOGIE: Des statistiques descriptives ont été réalisées. Les réponses catégorielles ont été comparées à l’aide du chi-carré ou de tests exacts de probabilité de Fisher; les résultats des échelles de Likert ont été comparés à l’aide de tests de Mann-Whitney et de Kruskal-Wallis. RÉSULTATS: Les sondages ont été complétés par 53 % des néphrologues pédiatriques (34/64), 41 % des médecins d’USIP (46/113) et par 82 membres du personnel infirmier d’USIP (taux de réponse inconnu). Plus de 65 % des prestataires de soins ont déclaré que l’hémodialyse était prescrite par le service de néphrologie, alors que la dialyze péritonéale et la thérapie de remplacement rénal continu (TRRC) étaient confiées à la fois à la néphrologie, à l’USI ou à un modèle partagé néphrologie-USI. L’hyperkaliémie grave était l’indication la plus importante de la TRR pour les néphrologues et les médecins en USIP (échelle de Likert de 0 [pas important] à 10 [le plus important]; médiane = 10, 10, respectivement). Les néphrologues ont signalé un seuil inférieur d’IRA pour l’augmentation du risque de mortalité; 38 % d’entre eux estimaient que l’IRA de stade 2 était le seuil minimum, contre 17 % des médecins en USI et 14 % du personnel infirmier. Les néphrologues étaient plus susceptibles que les médecins et le personnel infirmier des USIP de recommander un suivi à long terme pour les patients qui développent une IRA pendant leur séjour en USI (échelle Likert de 0 [aucun] à 10 [tous les patients]; moyennes respectives = 6,0; 3,8 et 3,7 [p < 0,05]). LIMITES: Il n’a pas été possible d’obtenir les réponses de tous les PS admissibles au pays. Des différences d’opinions sont possibles entre les PS qui ont répondu au sondage et ceux qui ne l’ont pas fait. De plus, la conception transversale de notre étude pourrait ne pas refléter adéquatement les changements apportés aux lignes directrices et aux connaissances depuis la fin de cette enquête, bien qu’aucune ligne directrice particulière n’ait été publiée au Canada depuis la diffusion du sondage. CONCLUSION: Les divers groupes de professionnels de la santé canadiens ont des points de vue différents en ce qui concerne la prise en charge et le suivi de l’IRA chez les enfants. La compréhension des modèles de pratique et des perspectives permettra d’optimiser la mise en œuvre de directives de suivi de l’IRA pédiatrique.[Abstract] [Full Text] [Related] [New Search]