These tools will no longer be maintained as of December 31, 2024. Archived website can be found here. PubMed4Hh GitHub repository can be found here. Contact NLM Customer Service if you have questions.
Pubmed for Handhelds
PUBMED FOR HANDHELDS
Search MEDLINE/PubMed
Title: Screen Time and Socioemotional and Behavioural Difficulties Among Indigenous Children in Canada: Temps d'écran et difficultés socio-émotionnelles et comportementales chez les enfants autochtones du Canada. Author: Owais S, Ospina MB, Ford C, Hill T, Savoy CD, Van Lieshout R. Journal: Can J Psychiatry; 2024 May; 69(5):337-346. PubMed ID: 38151919. Abstract: OBJECTIVES: To describe screen time levels and determine their association with socioemotional and behavioural difficulties among preschool-aged First Nations, Métis, and Inuit children. METHOD: Data were taken from the Aboriginal Children's Survey, a nationally representative survey of 2-5-year-old Indigenous children in Canada. Socioemotional and behavioural difficulties were defined using parent/guardian reports on the Strengths and Difficulties Questionnaire. Multiple linear regression analyses were conducted separately for First Nations, Métis, and Inuit participants, and statistically adjusted for child age, child sex, and parent/guardian education. Statistical significance was set at P < 0.002 to adjust for multiple comparisons. RESULTS: Of these 2-5-year-old children (mean [M] = 3.57 years) 3,085 were First Nations (53.5%), 2,430 Métis (39.2%), and 990 Inuit (7.3%). Screen time exposure was high among First Nations (M = 2 h and 58 min/day, standard deviation [SD] = 1.89), Métis (M = 2 h and 50 min [SD = 1.83]), and Inuit children (M = 3 h and 25 min [SD = 2.20]), with 79.7% exceeding recommended guidelines (>1 h/day). After adjusting for confounders, screen time was associated with more socioemotional and behavioural difficulties among First Nations (total difficulties β = 0.15 [95% CI, 0.12 to 0.19]) and Métis (β = 0.16 [95% CI, 0.12 to 0.20]) but not Inuit children (β = 0.12 [95% CI, 0.01 to 0.23]). CONCLUSIONS: Screen time exposure is high among Indigenous children in Canada, and is associated with more socioemotional and behavioural difficulties among First Nations and Métis children. Contributing factors could include enduring colonialism that resulted in family dissolution, lack of positive parental role models, and disproportionate socioeconomic disadvantage. Predictors of poor well-being should continue to be identified to develop targets for intervention to optimize the health and development of Indigenous children. OBJECTIFS: Décrire les niveaux de temps d’écran et déterminer leur association avec les difficultés socio-émotionnelles et comportementales chez les enfants des Premières nations, Métis et Inuit d’âge préscolaire. MÉTHODE: Les données ont été recueillies dans une enquête sur les enfants autochtones, enquête nationalement représentative des enfants autochtones de 2 à 5 ans au Canada. Les difficultés socio-émotionnelles et comportementales ont été définies à l’aide de rapports des parents/tuteurs issus de questionnaire sur les forces et les difficultés. De multiples analyses de régression linéaire ont été menées séparément pour les participants des Premières nations, Métis, et Inuit, et ajustées statistiquement selon l’âge/sexe de l’enfant et la scolarité du parent/tuteur. La signification statistique était établie à P < 0,002 pour s’ajuster à de multiples comparaisons. RÉSULTATS: Sur ces enfants de 2 à 5 ans (moyenne [M] = 3,57 ans) 3 085 étaient des Premières nations (53,5%), 2 430 des Métis (39,2%), et 990 Inuit (7,3%). L’exposition au temps d’écran était élevée chez les Premières nations (M = 2 heures et 58 min/jour [écart-type [ET]] = 1,89), les Métis (M = 2 heures et 50 min [ET = 1,83]), et les enfants Inuit (M = 3heures et 25 min [ET = 2,20]), dont 79,7% excédaient les guides recommandés (>1 heure/jour). Après ajustement pour les variables confondantes, le temps d’écran était associé avec plus de difficultés socio-émotionnelles et comportementales chez les Premières nations (difficultés totales β, 0,15 [IC à 95%, 0,12–0,19]) et les Métis (β, 0,16 [IC à 95%, 0,12–0,20]) mais pas chez les enfants Inuit (β, 0,12 [IC à 95%, 0,01–0,23]). CONCLUSIONS: L’exposition au temps d’écran est élevée chez les enfants autochtones au Canada et elle est associée avec plus de difficultés socio-émotionnelles et comportementales chez les enfants des Premières nations et Métis. Les facteurs contributifs pourraient inclure un colonialisme durable qui a résulté dans la dissolution des familles, le manque de modèles parentaux positifs, et un désavantage socio-économique disproportionné. Les prédicteurs de mauvais bien-être devrait continuer à être identifiés afin de développer des cibles d’intervention et d’optimiser la santé et le développement des enfants autochtones.[Abstract] [Full Text] [Related] [New Search]